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Association Rêves

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Rêves est une association nationale, reconnue d’utilité publique, qui depuis sa création en 1994, réalise le Rêve des enfants très gravement malades.

Présente sur le territoire français avec 30 délégations départementales à proximité des familles, des partenaires et des hôpitaux, elle collabore avec une soixantaine d’établissements de santé convaincus de l’impact du rêve sur le parcours de soin de l’enfant.

En 30 ans elle a réalisé plus de 7000 rêves, c’est aujourd’hui 350 rêves réalisés par an.

En moyenne, 280 enfants attendent de réaliser leur rêve: séjourner à Disneyland Paris, visiter Londres, rencontrer son idole, voler en hélicoptère, nager avec les dauphins... un souhait unique et individuel que Rêves, organise, accompagne et finance depuis le moment où l’enfant quitte son domicile jusqu’au moment où il y revient.

Pourquoi soutenir l'association Rêves ?

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Les enfants très gravement malades font face à une réalité marquée par des traitements lourds, des hospitalisations prolongées et une altération de leur qualité de vie. La projection de la réalisation de leur rêve a un impact direct sur leur moral, leur capacité à faire face aux épreuves, et peut même améliorer leur réponse aux traitements en réduisant le stress et en augmentant leur résilience.

En réalisant leurs vœux les plus fous, l’association leur permet de s’évader du quotidien et de vivre des expériences inoubliables qui les aident à reprendre confiance en l’avenir.

Le rêve, c’est “un avant, un pendant, un après”.

C’est un projet pour l’enfant qu’il planifie, qu’il anticipe, qu’il vit, qu’il analyse et dont il se souvient.

Lorsqu’il fait la demande de rêve, il rêve que l’impossible est possible, il se projette dans le futur.

Lorsque le rêve est planifié et programmé, il y a pour l’enfant l’excitation de vivre bientôt son rêve, l’anticipation, l’imagination de ce moment.

Enfin ! L’impossible va devenir possible ?!

Il vit ensuite son rêve, il n’est plus un enfant malade mais juste un enfant qui vit un moment extraordinaire. Parfois, les désagréments liés à la pathologie disparaissent complètement pendant le rêve. L’impossible est devenu possible !

Après le rêve, il y repense, se souvient, revit les meilleurs moments, y puise réconfort, courage et Espoir.

Par la réalisation de son rêve, il a eu la démonstration que l’impossible est possible…

Alors pourquoi cela ne s’appliquerait-il pas à la guérison ?

Témoignages

«Être là pour les autres. Le cancer du cerveau s’est imposé à moi en 2019 à l’âge de 33 ans. Un âge pour devenir maman, pas pour apprendre que cela fait dix ans, potentiellement vingt ans, que j’ai une tumeur qui pousse dans le lobe temporal droit. Annoncée comme étant bénigne à l’imagerie, elle s’est révélée maligne suite à l’examen anapath réalisé en postopératoire, et qui l’a classée dans les « astrocytomes anaplasiques de grade 3 ». Elle a été traitée comme telle avec chimio et radiothérapie dans le cadre du protocole Stupp. C’est trois semaines jour pour jour après avoir fêté mes 33 ans qu’une crise d’épilepsie convulsive révèle ce qui était bien caché pendant tant d’années. Bien que… des maux de tête souvent accompagnés de nausées, étant devenus ma norme au fil du temps, auraient dû m’alerter. Au moment de l’annonce, j’ai été immédiatement dans l’acceptation, poussée par une foi intérieure affranchie de tout dogme religieux. La seule différence entre la veille et ce mercredi 27 mars 2019, c’est que je prenais conscience de quelque chose qui était là durant de nombreuses années, ces années durant lesquelles je pensais vivre de la façon la plus favorable. De fait, la tumeur ne m’avait jusqu’ici soumise à aucune contrainte. Ce qui s’est imposé à moi, c’est la conviction que ce n’était pas au moment où elle allait être prise en charge qu’elle m’empêcherait de faire quoi que ce soit. Je ne partais pas au combat, je partais pour la Vie. Puisque cette « mal à dit » est là, c’est qu’elle a des choses à me dire;à moi de l’écouter. Je savais précisément ce qu’elle avait à me dire : ralentir, revenir à l’essentiel. À cette époque et depuis plus de dix ans, j’occupais un poste à responsabilités dans lequel j’étais totalement dévouée au point qu’au moment du diagnostic, quand j’ai fait le bilan de ma vie, je cochais la case « pro » mais rien d’autre. Était-ce suffisant ? La réponse fut immédiate et négative. Il était temps de vivre. Pendant toutes ces années, j’avais nourri mon égo;il était temps de nourrir mon âme et de faire des choix de vie allant dans ce sens. Au moment de l’annonce, j’ai voulu savoir d’où ça venait. Pour moi, c’était acté, mais qu’est-ce que je dis aux gens que j’aime pour les préserver d’un tel diagnostic ? La réponse des médecins a été « on ne sait pas ». Une réponse dissonante : comment faire pour vaincre quelque chose dont on ne connaît pas la cause ? Elle a contribué à mon envie de comprendre et d’être dans l’action. Être dans l’action et tournée vers les autres : si ça m’est arrivé, il faut que j’en fasse quelque chose pour moi et les autres. Être là pour leur dire qu’ils ne sont pas seuls, partager avec eux tout ce qui pourra aider, tout ce qui sera soutenant et apaisant. Tendre la main, celle que d’autres m’ont tendue quand je croyais être seule au monde à avoir ça ! En tant que femme, si j’avais eu un cancer du sein, j’aurai su que je n’étais pas seule, mais le cerveau… Qui en parle ? À quel moment l’information arrive-t-elle jusqu’à vous tant que vous n’êtes pas concerné ? Le réseau associatif est admirable, porté par des soignants, des patients, des aimants (communément appelés les aidants, mais ils sont plus que ça, il faut aimer pour être correctement présent dans ces basculements de vie, de doutes…). C’est le cas de l’ARTC Alsace, dont j’ai fait la connaissance en me rendant à un marché colmarien où Anita Haberer, responsable de la délégation alsacienne, tenait un stand. Nous avons longuement échangé, nous racontant nos parcours, nos doutes, nos victoires. De cette première rencontre se sont ensuivis des échanges réguliers. Aujourd’hui, cinq ans après mon diagnostic, le fait de m’investir au sein de l’ARTC auprès d’Anita et de l’équipe, c’est un cadeau de la Vie. Cela concrétise l’enVie d’en faire quelque chose avec et pour les autres. Car seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. Car ce cancer m’a appris bien plus que ce qu’il m’a pris, il m’a permis de me rencontrer moi-même. Parce qu’on ne décide pas de tout, mais qu’on peut être acteur de sa situation. Pour qu’un jour prochain le cancer du cerveau ne soit plus une condamnation. Pour Jérôme, mon meilleur ami ♥, et toutes les autres étoiles.»
Céline Hédouin
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Comment soutenir l'association Rêves ?

Devenez « Faiseur de Rêves », en faisant :

  • Un legs

Reconnue d’utilité publique, Rêves est habilitée à recevoir les legs. Cette transmission à titre gratuit d’un ou plusieurs biens du défunt, faite de son vivant par testament, ne prendra effet qu’à son décès.

  • Un legs universel avec charges

Pour le même montant transmis et sans que personne ne soit lésé, une « bonne cause » profitera de cette générosité. La charge la plus courante est celle qui consiste à imposer à Rêves de remettre un legs, libre de droits de succession, à un tiers bénéficiaire désigné par le légataire, comme par exemple un neveu.

  • Une donation

Acte par lequel une personne transmet irrévocablement de son vivant un bien au profit de l’association Rêves (logement, mobilier...)

  • Une assurance-vie

L’association Rêves peut être désignée comme bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie. Au décès de l’assuré, le capital revient à l’entité désignée, hors succession.

À quoi servent vos legs, donations et assurances-vie ?

Chaque legs, chaque assurance-vie, quel que soit son montant, permet de grandes actions :

Ici en France
Avec 50 000 €, vous financez un camion de consultations pour sillonner les déserts médicaux, Avec 100 000 €, vous contribuez pendant un an au fonctionnement de l’un de nos Centres d’Accueil, de Soins et d’Orientation (CASO), avec prise en charge par des médecins, des dentistes, des spécialistes, et des assistants sociaux des centaines d'enfants, de femmes et d'hommes en détresse.
Nos 28 équipes mobiles mènent des actions pour "ALLER VERS" les personnes sans-abri, les bidonvilles, les déserts médicaux (chiffres 2022).

Là-bas à l'international
En cas d'urgences et de crises, nous envoyons en moins de soixante-douze heures des équipes et le matériel sanitaire requis.
Avec 5 000 €, vous financez des kits d’urgence pour soigner 1 000 victimes pendant 15 jours, partout dans le monde.
Nous développons des programmes conçus autour de cinq thématiques prioritaires :
Urgences et crises
Santé et droits des migrants
Réduction des risques (usagers de drogues)
Soins en santé sexuelle et reproductive
Effets des environnements nocifs sur la santé
Nous nous attachons à accompagner les victimes, restaurer les structures de santé locales, former le personnel soignant et faire évoluer durablement les politiques publiques en matière de santé.

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André Bouquet, Administrateur Référent Legs, donations, assurance-vie, vous rappellera dans les meilleurs délais.

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